Comme disait le précédent message, hier j'ai dépassé un peu les limites coté calories. En fait, pas juste un peu, je crois que j'ai scrappé les 3 livres que je pensais avoir perdues cette semaine.
Ce qui me fait faire une réflexion sur l'influence de l'entourage sur ce que l'on mange. En fait, sur l'effet de MON entourage, sur ce que MOI je mange.
Je dois humblement avouer que je suis extrèmement influencable, et que je suis incapable de dire non. Et que sociétairement, avec des amis, je suis facile à m'emporter et je suis la première à suggérer qu'on se fasse une grosse giga bouffe à partager en bonne compagnie.
Quand j'ai commencé ma diète l'an passée, je me suis recluse quelques temps, histoire de me concentrer uniquement sur moi et ma démarche. Sauf qu'un moment donné, vivre en hermite, c'est un peu plate.
Ce qui ammène une 2ième idée: est ce que je devrais faire un effort supplémentaire pour m'entourer de personnes qui ont le même cheminement que moi???
Ahhhhhh je crois que j'ai une bonne introspection à faire sur ma démarche psychologique. Parce qu'il est évident, que je mets beaucoup d'efforts, mais que je sabotte un peu ce que je fais. Est ce volontaire??? Je sais pas.
Je vous reviendrai là dessus
promis
1 commentaire:
Pareil pour moi, je m'auto-influence en appelant des amis pour des grosses bouffes... C'est la pire partie, je trouve. Rester motivée même dans ces conditions. En fait, je trouve que ça frôle le fanatisme; faut être convaincue, pas juste motivée.
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